Commentaire

L’enfer de l’envie et la force de l’être — 10 commentaires

  1. Je suis très touché par ta sincérité ,par l’ouverture de ton coeur . Tu es un être humain au sens noble du terme ! On ne peut réaliser la paix ,que notre propre réforme intérieure . Ce qui permet de se reconnaître soi même et aussi de reconnaître l’autre dans sa singularité . Nous avons chacun ce « travail » à faire.

    Merci beaucoup .
    Jean Charles

    rrereconnaître

  2. Être soi…. quel défi!
    Oui cette force, cette vulnérabilité, cette audace peut être jalousée. Oui elle remue en nous les ombres et les lumières.
    Oui elle titille et nous oblige à donner le meilleur.
    Par ce que c’est la vie, par ce que nous sommes humains, par ce que l’autre a aussi ses défis et qu’il résonne en nous.
    Anabelle et Sandra sont deux etres de lumière qui éclairent nos doutes et les carrefours des choix que nous avons tous à faire.
    Merci de ces partages, des regards, des sourires et de la présence.
    Merci d’etre Une étoile bien nez.

  3. merci pour l’invitation. Oser être soi, rayonner, se défaire du regard extérieur, utiliser le miroir que les autres nous offrent…. Tellement de pistes en un seul texte. Merci, merci, merci d’être un modèle, non pas à suivre mais à s’inspirer par sa présence d’être à soi ! Bisous

  4. wow! Quelle belle façon d’exprimer un chemin pour être! Ces réflexions et découvertes que tu fais suscitent elles aussi de l’émerveillement! Je cherche encore MA place, (même si elle est toujours ici et maintenant), je continue moi aussi d’explorer et j’aime l’idée ce jeu de ping pong avec la vie!

  5. Salut Sandra, je suis les aventures d’Anabelle depuis … longtemps, et tombe toujours sous le charme de son côté moitié clown blanc moitié Auguste.
    Seulement il arrive que parfois l’homme au visage blanc et au chapeau en forme de cornet de glace se mette à pleurer. Alors on peut voir l’Auguste s’approcher timidement de son ami et lui glisser quelques mots dans le creux de l’oreille : Des mots que lui seul connaît. « Tu sais « monsieur le luneux » ton nez rouge tout petit et pointu ne fait pas rire tout le monde, seulement le monde n’a pas la chance d’avoir un beau nez rouge comme toi. » Puis il ajoute l’œil pétillant, « sauf moi bien sûr, quoique le mien est plus joli, plus rond, plus comme ci ou comme ça, et puis sache le luneux que je suis le champion du monde du nez rouge donc je m’y connais en nez rouge etc etc…

  6. Oh chère Sandra, tes textes sont d’une telle justesse, que c’est à chaque fois, un bonheur de te lire. Par chance et pour ma part, l’envie ne m’est pas familière. Par contre et comme tu le dis si bien, l’inspiration est une bien meilleure sensation. D’ailleurs, à certains moments de ma vie de clown, je me suis tellement inspirée de toi, que j’en ai eu le souffle coupé ! J’ai vécu de grandes joies grâce à toi et je t’en remercie. Mon nez rouge en poche, je suis sur le chemin de mon être et j’avance pas à pas, mais sans jamais faillir. Je ne sais pas combien de temps cela prendra, quelle importance après tout ; mais une chose est sûre, c’est qu’un jour mon nez rouge sortira de sa cachette et se montrera à nouveau au grand jour. Je te l’ai déjà dit, mais j’aime à le répéter, encore merci pour tout.

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